890 - Here we go again!


Voilà, voilà, je n'ai pas grand-chose à ajouter. Il faudrait aussi que je mette la bannière à jour, mais pour l'instant je laisse refroidir le stylet. Je vous aime, toussa.. C'est parti pour les 1000 :D

Brace yourselves..

.. Parce que demain, non seulement je balance le méga strip, mais en plus je reprends le blog. Bitches.

[FLASH INFO]

Hier à Valenciennes, aux alentours de 3h du matin, une charge explosive a endommagé un bâtiment supposé abriter la célèbre Église dite de Maladuex, marquant une nouvelle montée en puissance du conflit sectaire.

En l'espace d'un mois et demi, c'est la troisième explosion ciblant un abri de l'Église, qui depuis début 2012 multiplie les apparitions publiques. Hier soir, ce sont les locaux principaux de l'Église qui étaient visés. Vers 3h du matin, trois charges d'explosifs ont explosé et détérioré une grande partie du vieux bâtiment.
Avignon le 20 février, Paris le 15 mars et Valenciennes hier soir : le secte est devenue la cible d'une organisation qui signe ses attentats par l'utilisation de trois charges de 200 grammes placées directement dans les fondations de l'immeuble. Le premier attentat coïncide avec le dernier post en date sur le site okonekoi.blogspot.com, dont on sait que l'auteure a eu de nombreux démêlés judiciaires avec l'Église. Les autres attentats ont suivi chacun des deux grands débats publics organisés par l'Église sur le thème très controversé de la procrastination.

"L'Église de Maladuex ne s'offense pas de ces actions, mais cela ne signifie pas qu'elles resteront impunies. Nous saurons retrouver les coupables et les traduirons en justice devant notre grand conseil avant de les remettre aux services de l'ordre" a déclaré M.Violette, porte-parole de l'Église de Paris, déclenchant ainsi une vague d'émeutes fin mars dans la plupart des villes françaises abritant une église maladuxienne. Les manifestants, membres d'associations anti-sectaires pour la plupart, se sont déclarés outrés par la main-mise évidente de l'Église sur la police locale. Les manifestants accusaient également l'Église de financer des lieux de culte visant l'accueil de séances de spiritisme.
Après avoir envoyé des observateurs sur le terrain qui ont dû être retirés en raison des vives protestations de l'Église, la Miviludes a proposé un plan de sortie de crise qui n'a pas été soutenu par le ministre de l'intérieur. M.Fenech dénie toute implication additionnelle de la Miviludes dans les affaires de l'Église, bien que certaines sources indiquent une possible intervention des forces spéciales sur place.